Elevator Talk avec Tanja Zimmermann-Burgerstein, CEO d’Antistress AG – Burgerstein Vitamine

Burgerstein Vitamine – établie depuis plus de 50 ans en Suisse, la société est aujourd’hui la première marque de micronutriments sur le marché suisse. Très populaires auprès de sa clientèle, ses plus de 80 produits ont la confiance de sportifs d’élite renommés. En plus de médicaments et de compléments alimentaires, Burgerstein a développé le concept individualisable Burgerstein microcare®.

Dans le SVC Elevator Talk, Tanja Zimmermann-Burgerstein nous révèle pourquoi elle est devenue entrepreneuse et ce que doit être un supérieur hiérarchique.

Tanja Zimmermann-Burgerstein est membre du jury du Prix SVC Ostschweiz. Antistress AG - Burgerstein Vitamine a par ailleurs été l'une des entreprises lauréates du Prix SVC Wirtschaftsraum Zürich en 2013.

Escalier ou ascenseur?

L’escalier autant que possible, mais le matin, j’apprécie parfois l’ascenseur.

Comment gérez-vous la pression ou le manque de temps?

Je suis très connectée, mais lorsque je suis débordée, que j’ai beaucoup de choses à faire et que je dois me préparer ou prendre des décisions, les listes manuscrites ou les post-it refont surface. Dans les moments de stress, je compte sur mon mélange Burgerstein Microcare personnel et je me ménage volontairement des plages de créativité.

Comment avez-vous gagné votre premier salaire?

En remplissant des boîtes de produits Burgerstein pendant les vacances d’automne.

Pourquoi êtes-vous devenue entrepreneuse?

Mon père et mon grand-père étaient également entrepreneurs. Je les ai beaucoup observés, ce qui m’a apparemment marquée. J’aime la diversité de l’entrepreneuriat.

Faut-ils des quotas de femmes?

Il faut des femmes, mais pas juste pour remplir des quotas.

Quel conseil donneriez-vous à de jeunes entrepreneuses?

Restez authentiques et trouvez votre style, n’essayez pas de faire comme les hommes.

Selon vous, qu’est-ce qui fait obstacle à l’innovation?

La peur et la réalité.

Le meilleur conseil que l’on vous ait jamais donné?

Il s’agit plutôt d’une observation: le fait d’avoir pris conscience que la vie familiale et la vie professionnelle étaient tout à fait conciliables.

Que représentent pour vous les réseaux sociaux, sur les plans professionnel et privé? Comment utilisez-vous vos réseaux personnels au quotidien?

Les réseaux sociaux sont importants, mais je n’ai tout simplement pas le temps d’être présente en permanence sur les réseaux professionnels. Je ne demande pas non plus à y être mise en avant en tant que CEO. Je laisse volontiers aussi la place à mes collègues.

Quand et où parvenez-vous réellement à déconnecter?

En effectuant un travail créatif et en faisant du vélo.

Un supérieur hiérarchique doit-il être aimé ou craint?

Il doit être respecté et donner l’exemple. La question ci-dessus s’applique à un style de direction autoritaire: ce n’est pas trop ma tasse de thé.