Le contre-projet indirect à l’initiative populaire «Entreprises responsables», qui a été ap-prouvé par le peuple suisse, concernait surtout les grandes sociétés cotées en bourse. Ainsi, pour la première fois cette année, celles-ci ont eu l’obligation de publier un rapport sur les questions non financières dans les domaines de l’environnement, du social, du personnel, des droits humains et de la lutte contre la corruption. En juin, avant même la fin de la pre-mière période de reporting, le Conseil fédéral a mis en consultation un avant-projet visant l’élargissement et le durcissement de ces dispositions. Objectif: adapter le droit suisse à la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive).

Qui dit personnel heureux, dit clientèle satisfaite et entreprise prospère. Ce qui fait la différence, c’est la culture d’entreprise. Les collaboratrices et collaborateurs veulent travailler dans un environnement productif. Sinon, ils s’en vont. Toutes les entreprises rivalisent pour attirer des recrues. Elles ont donc intérêt à investir dans leur culture organisationnelle. Les cadres ont à cet égard un rôle particulier à jouer. Mais peu montrent l’exemple. Comment créer une culture d’entreprise saine et productive? Des milliers de PME suisses ont beaucoup à offrir, sans pour autant le savoir ou développer consciemment ces facteurs de succès.

Ruedi Nützi est administrateur de trois PME suisses et professeur de leadership à la Haute école spécialisée du nord-ouest de la Suisse (FHNW). Il conseille en outre des entreprises en matière de développement du leadership. Bien conduire s’apprend, et c’est un facteur de succès déterminant pour les PME.

La numérisation progresse rapidement dans tous les domaines, y compris dans celui de la signature de contrats et de documents. Avec le lancement de Swisscom Sign, les entreprises ont désormais la possibilité de numériser entièrement leurs processus de signature. Mais quels sont vraiment les avantages de cette solution, et comment est-elle accueillie sur le marché? 

Dans cet entretien, Michel Lapiccirella nous parle de l’importance de la signature électronique qualifiée, décrit les défis liés à l’introduction de cette technologie innovante et évoque les prochaines étapes.

Dans de nombreuses entreprises, le thème de la durabilité reste souvent théorique et difficile à appréhender. Les collaborateurs ne se sentent pas suffisamment motivés ou informés pour intégrer un comportement respectueux du climat dans leur travail quotidien et réduire ainsi les émissions relevant, par exemple du Scope3. C'est précisément là qu'intervient enerjoy : la plateforme digitale d'IWB propose un coach global de l'empreinte carbone qui, grâce à des éléments de jeu et des recommandations personnalisées, motive les collaborateurs de manière ludique à agir de manière durable. La durabilité devient ainsi tangible et s'ancre à long terme dans l'entreprise.

Nous avons posé quelques questions à Christoph Häner sur le thème de la durabilité et sur la nouvelle application enerjoy d'IWB.

Un poste de direction vacant peut rapidement devenir un véritable handicap pour l’ensemble de l’entreprise. Il est crucial d’avoir une gestion rapide et compétente afin de pouvoir répondre aux besoins en matière de postes vacants, de délocalisation, de réorganisation, de redressements ou de grands projets stagnants.
C’est là où Top Fifty AG entre en jeu. Depuis près de trois décennies, l’entreprise recrute des cadres et des experts expérimentés pour des missions temporaires aux premier et deuxième niveau de gestion. Les gestionnaires intérimaires fournissent rapidement et aussi longtemps que nécessaire l’expérience manquante, les connaissances pertinentes et les compétences requises au sein de l’entreprise.
Natalia Winterberger, co-CEO, explique dans quels cas de figure la mission d’un gestionnaire intérimaire devient pertinente et de quelle façon elle peut réussir.

La digitalisation est un sujet omniprésent ayant un impact sur presque tous les secteurs d’activité sous différentes formes. Pour les PME en particulier, il en résulte à la fois des défis et des opportunités. À l’ère de l’information, les données sont devenues un atout vital, qui oriente les décisions et les stratégies des entreprises. 

Yves Gottofrey, Associé et Responsable Outsourcing chez Forvis Mazars en Suisse, nous partage son point de vue en mettant en avant les perspectives de croissance que la digitalisation peut offrir aux PME. Dans cet article, nous examinerons comment les PME peuvent évaluer leur degré de préparation à cette transition digitale, les défis communs auxquels elles sont confrontées, les conseils pour entamer leur parcours de transformation et les principaux avantages de cette transformation.

Depuis 100 jours, Raphaël Karlen est sur la route en tant que directeur adjoint du Swiss Venture Club. Qui a-t-il rencontré ? Comment le SVC est-il en route vers le numérique, avec quelles chances pour l'utilisation de l'intelligence artificielle au SVC et dans les PME ? Et où voit-il le SVC dans 1000 jours ? Plus d'informations dans le dernier entretien avec Raphaël Karlen.

Depuis près de 80 ans, la Vereinigung Schweizerischer Unternehmen in Deutschland (VSUD / association des entreprises suisses en Allemagne) aide les sociétés helvétiques à s’implanter sur le marché allemand. La gérante, Stefanie Luckert, expose les avantages de ce dernier ainsi que les aspects à prendre en compte.  

Fondée en 2014, Check Your Chance est aujourd’hui la principale organisation faîtière suisse œuvrant dans le domaine du chômage des jeunes. En collaboration avec onze organisations, l’association d’utilité publique a pour objectif que le plus grand nombre possible de jeunes réussissent à s’intégrer sur le marché du travail et puissent donc mener une vie autodéterminée et indépendante. Ce qui permettra d'éviter d'importants coûts pour la société.

Nous avons demandé à Andreas Rupp comment les diverses organisations soutiennent l'intégration des jeunes chômeurs dans la vie professionnelle et comment les fonds de l'association sont utilisés.

Simon Maurer est auditeur principal et responsable de la norme ISO/CEI 27001 auprès de l’Association Suisse pour Systèmes de qualité et de Management (SQS). La SQS est leader de la certification en Suisse pour les systèmes de management de la sécurité de l’information répondant à cette norme. Simon Maurer dispose d’une solide expérience de conduite dans le domaine de l’informatique. En plus de son activité à la SQS, il conseille des entreprises sur la sécurité de l’information.

Nous avons posé quelques questions à Simon Maurer sur ses responsabilités.