« Il faut toujours regarder le ciel : même s’il n’y a pas de ciel bleu, il y a toujours un coin ou il y a moins de nuages. C’est là qu’il faut regarder et avoir la confiance que tout va redevenir bleu. »
Pour prendre la mesure du fabuleux parcours d’Etienne Jornod, il faut l’empoigner à l’envers. Rappeler qu’il a écrit l’une des plus belles pages économiques suisses de ces trente dernières années. Signaler que son esprit visionnaire et son amour de l’action l’ont conduit à la présidence de la très prestigieuse «NZZ».Pourtant, bien peu auraient misé sur une telle carrière, lorsqu’enfant, Etienne Jornod alignait les mauvais résultats scolaires.
Etienne Jornod sur :
- sur comment résoudre des problèmes complexes:
« La simplification est centrale… Si vous comprenez les problèmes et vous arrivez a les simplifier, vous arrivez a les expliquer. »
- sur la a transformation du groupe Galenica :
« Je n’ai pas seulement pensé à l’aspect économique – j’ai pensé au défi de transformer une entreprise qui n’avait plus d’avenir en deux entreprises à succès ! »
- sur son gestion des échecs :
« Il faut toujours regarder le ciel : même s’il n’y a pas de ciel bleu, il y a toujours un coin ou il y a moins de nuages. C’est là qu’il faut regarder et avoir la confiance que tout va redevenir bleu. »